Fond des ailes gris-brun, très proche de T. rupicapraria, dont elle n’a été différenciée qu’en 1979 par Dufay. En dehors des genitalia qui présentent des différences, les principaux critères de distinction sont la forme des ailes plus arrondies à l’apex et le point discoïdal plus rond et épais chez primaria. Femelle brachyptère. Présente en Europe septentrionale et méridionale mais sa répartition reste à affiner étant donnée sa ressemblance avec T. rupicapraria. En France, elle vole sur les mêmes sites que T. rupicapraria mais à une période un peu plus précoce. La chenille, différente de celle de T. rupicapraria, présente des éléments noirs bien dessinés. Elle vit sur les Crataegus. La chrysalide hiverne.
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