E. niphadophanes a été décrite à partir de deux spécimens collectés par L. Lhomme dans les Pyrénées-Orientales (Forges d'Abel). Parenti (1972) a disséqué le seul syntype disponible au MNHN et a désigné ce spécimen comme lectotype. Il mentionne en outre trois spécimens mâles dans la coll. Lhomme. Plus tard, Steuer (1976) a incorrectement mis en synonymie E. niphadophanes avec E. dimicatella, uniquement sur la base d'une similarité globale des genitalia mâles tels que figurés par Parenti (1972) et sur la base d'informations écrites de Parenti, selon lesquelles il n'y aurait pas de différences entre les adultes des deux taxons. Kaila & Huemer (2024), ont réhabilité le statut de ca taxon.
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Observation en 2025
Dernière observation après 2010
Dernière observation entre 2000 et 2010
Dernière observation entre 1980 et 2000
Dernière observation entre 1950 et 1980
Dernière observation avant 1950
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