Paléotropicale. Toute l’Europe, ainsi que toute la France. Pouvant pulluler certaines années favorables, la majorité des observations du nord du pays est issue d’apports migratoires. Elle ressemble à H. nubigera, mais s’en distingue par la tache sombre de l’orbiculaire qui n’atteint pas la costa et l’absence de points noirs dans l’aire submarginale. Elle est également proche de H. armigera, mais H. peltigera possède un point noir au niveau du tornus et la tache sombre de l’orbiculaire se prolonge jusqu’à la costa. A tendance xérophile, on la rencontre dans divers milieux ouverts fleuris où elle peut butiner, de jour comme de nuit. La chenille, polyphage, consomme des plantes herbacées.
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